lundi 12 mars 2018

Un Monde branché



Point de vue sur la nature de l’univers

Principaux constituants de l’univers : électricité et plasma


La cosmologie du plasma peut tester ses hypothèses et en élaborer des théories. En revanche la cosmologie officielle crée de nouveaux concepts qui ne peuvent pas être testés et qui ne sont donc que des spéculations scientifiques (Big bang ; matière,  énergie et trous noirs ; étoiles à neutrons etc.).
Dans certains cas l’électromagnétisme est bien plus puissant que les forces gravitationnelles. Il a été démontré (Robert Millikan) que la force électromagnétique exercée par un seul électron peut contrer le poids, la force gravitationnelle, de 1017 atomes.

Le plasma est de la matière (en général un gaz, mais il peut aussi être un solide ou un liquide) dont une partie spécifique des particules a été ionisée. Une particule ionisée est une particule qui a perdu un ou plusieurs de ses électrons. Tandis qu’un gaz classique est constitué de particules non-ionisées, un plasma l’est de particules positives dissociées et d’électrons négatifs.

Le gaz ionisé est appelé plasma du fait de la ressemblance de ses propriétés à celles des cellules du sang. Le plasma est l’état de la matière le plus répandu dans l’univers, tant en masse qu’en volume. Il constitue 99% de l’univers visible, ce qui représente beaucoup plus que les trois autres états : solide, liquide et gazeux. Toutes les étoiles sont faites de plasma, l’espace interstellaire est rempli de plasma et même les métaux entrent dans la catégorie des plasmas, puisqu’ils sont constitués de matière (solide) avec des électrons libres dissociés.

Les plasmas ont des propriétés électriques très particulières. Ce ne sont pas des isolants (qui procurent une très grande résistance) comme les gaz non-ionisés. Ce ne sont pas non plus des superconducteurs (qui n’ont aucune résistance), mais ce sont de très bons conducteurs, mieux même que le cuivre ou l’or.
En plus de sa résistance électrique très basse, une autre caractéristique du plasma est son aptitude à créer une sorte de ‘bulle isolante’ autour de masses chargées électriquement. C’est une de ses principales propriétés, qui lui permet d’isoler électriquement une de ses parties d’une autre. Les plasmas peuvent ainsi s’isoler d’envahisseurs externes.

La bulle isolante, ou ‘double couche’,  du Soleil est l’héliosphère, celle de la Terre est l’ionosphère, cette dernière se trouvant imbriquée dans la première. Bien que sa charge absolue soit négative, le Soleil est la masse la plus positivement chargée dans le système solaire. Il agit comme un générateur, projetant des protons (positivement chargés) à travers les vents solaires, qui sont surtout des processus électriques où le flot des particules chargées est entrainé par des champs électriques. La charge positive de l’ionosphère de la Terre est ainsi maintenue.

Au niveau du Soleil les charges électriques relatives sont plus positives au cœur qu’à la surface, qui sont (cœur + surface) plus positifs que l’héliosphère, qui est plus positive que le plasma galactique environnant. Pour la Terre, le cœur est relativement plus positif que la surface, qui sont (cœur + surface) plus négatifs que l’ionosphère, qui est plus négative que le plasma héliosphérique...

Si une bulle isolante réduit les décharges entre une masse et le plasma autour, agissant comme un isolateur électrique, du courant passe quand même, soit sous la forme d’une petite fuite, soit dans des décharges plus ou moins violentes. Les déséquilibres locaux des charges électriques produisent par exemple les éclairs, qui sont des phénomènes de rééquilibrage.


Ce ne serait pas un hasard que les axes de rotation des galaxies aient une courbure identique : leur alignement serait dû à un anneau géant de courant électrique entourant le ‘vide’ cosmique, dont l’origine est toujours inconnue (Longo, Alfven, Campanelli et Schwarz) et qui alimenterait les galaxies en énergie.  De la même façon que le courant électrique qui s’étend entre les galaxies peut expliquer leur alignement et leur même direction de rotation, le courant à l’intérieur des galaxies peut expliquer pourquoi la plupart des étoiles se trouvent dans les bras galactiques.  


Ainsi il semble que le vide intergalactique alimente les galaxies, les aligne et les fait tourner ; que les galaxies alignent les étoiles, leur donne de l’énergie et les fait tourner ; et que finalement les étoiles alimentent électriquement les planètes et les font tourner. Ce serait le même processus qui se répète à toutes les échelles, comme dans une fractale, du plus grand au plus petit.

Le plasma qui remplit l’espace est principalement constitué des molécules très légères que sont les ions plus électrons d’hydrogène et d’hélium. La concentration très basse du plasma spatial, environ une particule ionisée par centimètre cube (alors qu’en comparaison la concentration de l’air atmosphérique est de l’ordre de 1013 particules), permet quand même les échanges électriques au niveau des corps célestes, du fait de sa haute conductivité.

Les décharges électriques du plasma se faisant sous la forme de filaments, on les appelle courants filamentaires du plasma, aussi nommés courants de Birkeland. Les contraintes des champs magnétiques créent un ‘vortex de plasma’, où deux courants électriques tournent l’un autour de l’autre pour former un courant filamentaire (ou encore câble de plasma) très stable.
Les courants de Birkeland et la rotation des filaments doubles sont en relation avec le concept des moteurs de Faraday (homopolaires), qui sont basés sur l’énergie générée par l’interaction entre un courant électrique et un champ magnétique (force de Laplace ou de Lorentz).

Un corps céleste est soumis à des courants électriques et des champs magnétiques, donc à la force de Lorentz, d’où les rotations spiralées (spin) des étoiles et des planètes qui peuvent être considérées comme des moteurs homopolaires géants. Ainsi, leurs tournoiements dépendent des fluctuations des courants électrique ou/et des champs magnétiques.
Des corps célestes se trouvant dans l’héliosphère, tels les comètes et les planètes, peuvent  provoquer des décharges solaires (éruptions et tâches solaires, éjections coronales de masse), en fonction de leurs tailles, charges électriques, trajectoires et locations, et en particulier de leurs alignements. Ces décharges ont des répercussions sur Terre, comme les aurores boréales où le ciel est ionisé par les particules solaires qui pénètrent les parties les plus étroites de l’atmosphère (régions polaires).

La position de la lune contribue à rendre leurs effets plus ou moins intenses. La lune fait écran à l’activité solaire en période de nouvelle-lune, lorsque celle-ci se trouve entre le soleil et la terre. Dans les jours qui suivent, alors qu’un nouvel afflux de particules solaires arrive sur Terre, les évènements climatiques ont tendance à être amplifiés. 

D’une manière analogue aux comètes et aux planètes par rapport au système soleil - héliosphère, la pleine-lune perturbe l’activité électromagnétique de la terre du fait de sa position dans la magnétosphère. De plus l’alignement de la terre et de la lune renforce leur capacité de décharge, ce qui contribue à intensifier l’activité solaire et à provoquer des perturbations climatiques.


Peu après le début du cycle solaire précédent (vers 1998), l’activité solaire a commencé à diminuer pour atteindre le plus bas ‘maximum solaire’ depuis plus d’un siècle (nombre de tâches solaires) en 2013, ce qui est en complète contradiction avec les résultats escomptés par la NASA. 
Cette réduction anormale de l’activité solaire coïncide avec une augmentation exceptionnelle de l’activité météorique, qui est pourtant censée entrainer des décharges solaires importantes. Les mêmes causes peuvent-elles être responsables de ces phénomènes antagonistes ?

D’après la NASA, plus de 80% des étoiles sont dans des systèmes d’étoiles multiples, le plus souvent des systèmes d’étoiles doubles. Pour le Binary Research Institute notre soleil fait vraisemblablement partie d’un système binaire à cycle long. Les cosmologues du plasma estiment qu’un système binaire est une réaction logique pour une étoile individuelle qui doit faire face à une forte tension électrique, l’amenant à se morceler en deux (ou plusieurs) parties, où les naines brunes devraient être assez répandues. Quand une sphère est divisée, la masse totale est inchangée, mais la surface de la paire est environ 26% plus grande, ce qui augmente l’exposition au champ électrique tout en diminuant la densité du courant (ampères par mètre-carré).  L’anomalie serait que notre soleil soit seul...


Une naine brune est une étoile qui n’émet pas de lumière parce que le champ électrique local est trop faible (alors que la science officielle, malgré les dernières découvertes concernant l’activité nucléaire vérifiée d’une naine brune, détermine leurs caractéristiques par leur taille et leur température). Si le compagnon du Soleil est une naine brune, orbitant de plus dans le plan de l’écliptique, il est quasiment impossible à repérer, rendu invisible du fait qu’il soit noir et environné de myriades d’astres brillants. 

Il a été établi que les extinctions de masse, qui se répètent selon un cycle d’un intervalle moyen de 27 millions d’années (M.A.), sont dues en majorité à des bombardements de météores (comètes ou astéroïdes). Or l’orbite des comètes ne peut avoir par elle-même  une telle stabilité sur 27 M.A. D’où la théorie de ‘Némésis’, avancée par Richard Muller, d’un compagnon du Soleil ayant cette orbite, qui perturberait les comètes et les astéroïdes lors de son approche du système solaire, les entrainant dans sa trajectoire.

À noter que la distinction classique entre comètes et astéroïdes est incompatible avec des observations récentes. Par exemple la comète Lovejoy, censée être pleine de glace, est ressortie intacte de sa traversée de l’atmosphère du Soleil ; l’astéroïde P/2013 P5, supposé être une roche qui ne brille pas, a développé une trainée lumineuse immense... Leur différence fondamentale ne tient pas à leur composition chimique mais, comme le soutiennent depuis longtemps les théoriciens du plasma, à leur activité électrique. En fait on peut dire qu’une comète est un astéroïde brillant et qu’un astéroïde est une comète qui ne brille pas ; ou bien qu’un astéroïde peut devenir une comète, puis une météore quand il entre dans l’atmosphère terrestre, enfin une météorite lorsqu’il atteint la surface de la Terre.

En se basant sur des datations au carbone-14, la dernière extinction de masse aurait eu lieu il y a 14 M.A. Mais cette méthode de datation comporte des anomalies répétées, comparée à d’autres datations (électroluminescence, dendrochronologie, archéologie, géologie, analyses de carottes de glace). Il se trouve qu’elle attribue fréquemment des âges qui sont beaucoup plus récents qu’ils ne le sont en fait. Or des évènements cosmiques comme les supernovas, les bombardements ou les explosions de comètes, altèrent la datation au radiocarbone, qui donne alors des résultats qui apparaissent plus jeunes (phénomène identique avec les explosions thermonucléaires). Ainsi ces évènements cosmiques sont la cause d’extinctions de masse, modifiant par la même occasion la qualité du carbone-14 des organismes qu’ils tuent et qui fossilisent.

La possibilité que Némésis soit dans sa phase d’approche du Soleil (périhélie),  au contraire de ce qui est suggéré par la datation au carbone-14, est accentuée par l’anomalie de la gravitation lunaire récemment démontrée, où l’excentricité de son orbite augmente. Ce qui ne pourrait se comprendre que par la proximité d’un corps spatial non identifié, localisé au-delà de Pluton.

Une grande activité météorique couplée à une réduction de l’activité solaire suggère que la charge électrique du Soleil a diminué. L’approche de son compagnon invisible pourrait en être la cause. Ce dernier reçoit probablement la même source externe d’énergie depuis la région du bras d’Orion où le Soleil est situé (bien qu’officiellement le Soleil n’ait qu’une source interne d’énergie, ce qui n’est pas compatible avec la production de neutrinos, trois fois inférieure à ce qu’elle devrait être dans ce cas), réduisant ainsi  l’intensité de l’électricité transmise.

L’interaction entre le Soleil et Némésis peut être de nature non locale, si l’on se réfère en particulier à l’hypothèse des ‘trous de vers’, qui sont des sortes de raccourcis à travers l’espace-temps connectant deux points distants (concept en adéquation avec la théorie de la relativité générale). Malgré les grandes distances et le manque de moyens de mesures pour la mettre en évidence, cette interaction pourrait ainsi avoir des impacts environnementaux sur le Soleil et sur la Terre.

En plus du cycle de 27 M.A. de Némésis, et à part les cycles d’activité cométaire d’une année terrestre, d’autres cycles d’extinctions liés à des essaims de comètes sont à prendre en compte, comme celui de 186 M.A. qui correspondrait à l’année galactique, où notre système solaire passerait dans une zone très perturbée.

Dans son orbite autour du centre galactique, le système solaire oscille périodiquement d’un côté et de l’autre du plan galactique, le long duquel se situe la Ceinture de Kuiper. À chaque passage sur le plan galactique des comètes géantes pourraient être entrainées et se rapprocher du Soleil tout en se fragmentant.
La formation des comètes devient plus claire avec un univers électrique empli de plasma, contrairement aux diverses théories officielles : le processus d’accrétion de matière (pour former comètes, planètes etc.) est bien plus évident avec des masses chargées électriquement qu’avec des corps neutres (attraction de particules positives ou négatives). 


La Terre est analogue à un condensateur. Malgré de nombreuses décharges entre sa surface et l’ionosphère (éclairs par ex.), le champ électrique entre les deux ne disparait pas car il est rechargé électriquement par les vents solaires.
Les radiations solaires ionisent les molécules, principalement gazeuses, de l’ionosphère qui se trouve de 50 à 500 kilomètres environ de la surface terrestre et est en interaction directe avec les vents solaires. Les couches supérieures et inférieures de l’atmosphère peuvent être décrites comme la bulle isolante de la Terre, sa Double Couche (DC).  Comme la charge électrique de l’ionosphère est positive relativement à la charge négative de la Terre, un champ électrique vertical existe entre les deux au sein de l’atmosphère.

Lorsque l’activité solaire est faible, outre les champs électriques de l’atmosphère terrestre et de la surface-noyau qui sont réduits, les comètes sont moins soumises aux impacts électriques et se désintègrent moins. Or leur nombre a beaucoup augmenté depuis près de dix ans, ainsi que leur masse. Ce qui apporte aussi une augmentation de la poussière atmosphérique, provoquant une diminution de la quantité de radiations solaires sur la surface terrestre (à quoi s’ajoute la pollution d’origine humaine).
Des virus et des microbes peuvent être apportés à la surface de la Terre par les poussières dues aux météorites. Ainsi, la Peste Noire de 1347 a été précédée par une activité cométaire intense...

La rotation de la Terre, proportionnelle à l’intensité du courant électrique entre l’ionosphère et la planète, peut être ralentie très légèrement par une diminution de l’activité solaire, à quoi peut s’ajouter une concentration plus forte de poussières dans l’atmosphère.
Même infinitésimal, un ralentissement de la Terre peut déclencher des tremblements de terre et des éruptions volcaniques. Couplé à une réduction du champ magnétique surface-noyau, cela déclenche aussi des phénomènes comme de nouvelles îles ou geysers, des dolines (sinkholes), des failles, glissements de terrain etc.

La couverture nuageuse du globe terrestre pourrait bien se densifier dans le futur, à cause de l’augmentation des rayons cosmiques et de la poussière atmosphérique qui sont, avec la présence d’humidité, les causes principales de la formation des nuages ; ce qui aurait pour conséquence un refroidissement de la planète, selon les résultats des mesures effectuées par des satellites, qui ont démontré que les nuages produisent au final un effet global de refroidissement (entre les nuages de haute altitude qui retiennent plus de chaleur et les nuages de basse altitude qui réfléchissent plus de lumière solaire).

Lorsque l’activité solaire est faible, moins de vents solaires atteignent la haute atmosphère, qui reçoit donc moins de radiations d’ultraviolets, ce qui induit le refroidissement de la stratosphère et a été vérifié depuis le dernier minimum solaire en 2002.
Cette diminution de l’activité solaire réduit aussi la rotation de la Terre et affaiblit le courant atmosphérique vertical (réductions respectives de l’Effet de Coriolis et de la Force de Lorentz). Ce sont les causes probables du ralentissement du Gulf Stream depuis 2004.

De même pour le Jet Stream, courants aériens de haute altitude liés aux activités électriques, qui ralentissent et descendent vers le sud ou le contraire selon les hémisphères, au lieu d’aller plus vite et plus droit comme c’est le cas lorsque l’activité solaire est élevée. Plus cette situation dure et plus les phénomènes météorologiques extrêmes sont à prévoir, ainsi qu’un refroidissement des latitudes tempérées.
L’accumulation de poussières cométaires dans l’atmosphère joue un rôle important en ce qui concerne l’augmentation des tornades, cyclones et ouragans, en lien avec leur nature électrique. Ces évènements aériens sont la manifestation de décharges électriques entre l’ionosphère et la surface terrestre. La concentration élevée de poussière atmosphérique réduit la conductivité électrique de l’atmosphère, en réduisant la mobilité des petits ions. Ainsi les électrons ne peuvent se mouvoir librement et sont capturés par les particules de poussières, ce qui provoque des décharges électriques locales plus fréquentes.

L’axe de rotation de la Terre a sans doute été vertical, au moins durant l’ère Secondaire où il n’y avait probablement pas de saisons, comme semble le prouver les fossiles de dinosaures découverts près du Pôle Nord. La cause de l’inclination de cet axe terrestre peut très bien provenir du passage suffisamment proche d’une comète fortement chargée en électricité.

La flèche du temps de l’entropie, qui est la tendance de tout système à perdre de l’énergie et à finalement mourir, est contrebalancée par une autre flèche du temps fondamentale, où l’univers progresse à travers l’augmentation de l’information, de la structure, de l’organisation et de la complexité jusqu’à des états toujours plus élaborés de la matière et de l’énergie.

La lumière (mouvement de photons, qui possèdent divers degrés de transport de l’information, comme la fréquence ou la polarisation) et l’électricité (mouvement d’électrons à la source des ondes électromagnétiques) sont intimement liées. La matière est un mélange de photons et d’électrons qui réagit aux champs électriques en séparant les charges positives des charges négatives, ce qui produit de l’ordre, marque distinctive de l’organisation, de l’information. Ce qu’on retrouve dans le plasma, qui est de la matière qui a été ionisée (séparation des charges) suite à une tension électrique et qui possède un très haut niveau d’organisation. 

Le constituant fondamental de l’univers pourrait véritablement être l’information, dont le photon est le principal élément. Notre cerveau, à l’activité électrique intense et producteur de photons, construit une réalité objective en interprétant des fréquences électromagnétiques, qui sont essentiellement des projections d’une dimension non perceptible ayant les propriétés d’un champ d’une réalité plus profonde qui transcende l’espace-temps : un Champ d’Information Cosmique ? 

                                                                                                                                                  

Ce ne sont pas les objets qui définissent l’espace, c’est l’espace qui définit les objets.
L’espace, ou le vide, connecte tout. Les fluctuations d’énergie à l’intérieur du vide, qui alimentent sa structure, sont à la source de notre réalité.  Une composante de cette structure du vide est celle qui produit notre réalité.
Notre univers connu est trop dense pour que la lumière s’en échappe, ce qui est la condition première pour la formation d’un trou noir.
Les galaxies en particulier seraient  les effets et non les causes des trous noirs, qui peuvent être vus comme un modèle basique du vide lui-même, absorbant et diffusant les échanges d’informations. 

De la Longueur de Planck aux confins de l’univers les transferts d’informations se font à toutes les échelles, relayés par le vide qui peut être assimilé à un agent organisateur qui produit la complexité.

Le monde matériel est constitué de 99,999 999 % d’espace "vide". La réalité que nous expérimentons représente en fait  0,000 000 1 % de ce qui existe.

En tant qu’êtres humains, notre passage sur Terre s’incarne à la limite de ce qui sépare l'infiniment grand de l’infiniment petit, aux frontières d’un horizon qui ouvre sur le trou noir, en équilibre dans le vide...
La densité du vide a été calculée à 1093 gr./cm3 alors que la masse totale de l’univers observable l’est à 1055 gr./cm3, c’est-à-dire que la structure du vide a une densité  39 fois supérieure à celle de la matière.
Des atomes aux galaxies le vide se divise en relations très spécifiques, où tout dépend du Rapport Phi, qui est de 1.618, et où la gravité est la force qui donne sa cohésion à l’univers.
La structure fondamentale des divisions du vide correspond à des principes géométriques basés sur le tétraèdre et la sphère, dans des structures fractales tridimensionnelles évoluant selon des octaves parfaites. 



Résumé personnel tiré du livre de Pierre Lescaudron : Earth Changes and the Human-Cosmic Connection


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