Point de vue sur la nature de l’univers
Principaux constituants de
l’univers : électricité et plasma
La cosmologie du plasma peut
tester ses hypothèses et en élaborer des théories. En revanche la cosmologie
officielle crée de nouveaux concepts qui ne peuvent pas être testés et qui ne
sont donc que des spéculations scientifiques (Big bang ; matière, énergie et trous noirs ; étoiles à
neutrons etc.).
Dans certains cas
l’électromagnétisme est bien plus puissant que les forces gravitationnelles. Il
a été démontré (Robert Millikan) que la force électromagnétique exercée par un
seul électron peut contrer le poids, la force gravitationnelle, de 1017 atomes.
Le plasma est de la matière (en
général un gaz, mais il peut aussi être un solide ou un liquide) dont une
partie spécifique des particules a été ionisée. Une particule ionisée est une
particule qui a perdu un ou plusieurs de ses électrons. Tandis qu’un gaz
classique est constitué de particules non-ionisées, un plasma l’est de
particules positives dissociées et d’électrons négatifs.
Le gaz ionisé est appelé plasma
du fait de la ressemblance de ses propriétés à celles des cellules du sang. Le
plasma est l’état de la matière le plus répandu dans l’univers, tant en masse
qu’en volume. Il constitue 99% de l’univers visible, ce qui représente beaucoup
plus que les trois autres états : solide, liquide et gazeux. Toutes les
étoiles sont faites de plasma, l’espace interstellaire est rempli de plasma et
même les métaux entrent dans la catégorie des plasmas, puisqu’ils sont
constitués de matière (solide) avec des électrons libres dissociés.
Les plasmas ont des propriétés
électriques très particulières. Ce ne sont pas des isolants (qui procurent une
très grande résistance) comme les gaz non-ionisés. Ce ne sont pas non plus des
superconducteurs (qui n’ont aucune résistance), mais ce sont de très bons
conducteurs, mieux même que le cuivre ou l’or.
En plus de sa résistance
électrique très basse, une autre caractéristique du plasma est son aptitude à
créer une sorte de ‘bulle isolante’ autour de masses chargées électriquement.
C’est une de ses principales propriétés, qui lui permet d’isoler électriquement
une de ses parties d’une autre. Les plasmas peuvent ainsi s’isoler
d’envahisseurs externes.
La bulle isolante, ou ‘double
couche’, du Soleil est l’héliosphère,
celle de la Terre est l’ionosphère, cette dernière se trouvant imbriquée dans
la première. Bien que sa charge absolue soit négative, le Soleil est la masse
la plus positivement chargée dans le système solaire. Il agit comme un
générateur, projetant des protons (positivement chargés) à travers les vents
solaires, qui sont surtout des processus électriques où le flot des particules
chargées est entrainé par des champs électriques. La charge positive de
l’ionosphère de la Terre est ainsi maintenue.
Au niveau du Soleil les charges
électriques relatives sont plus positives au cœur qu’à la surface, qui sont
(cœur + surface) plus positifs que l’héliosphère, qui est plus positive que le
plasma galactique environnant. Pour la Terre, le cœur est relativement plus
positif que la surface, qui sont (cœur + surface) plus négatifs que
l’ionosphère, qui est plus négative que le plasma héliosphérique...
Si une bulle isolante réduit les
décharges entre une masse et le plasma autour, agissant comme un isolateur électrique,
du courant passe quand même, soit sous la forme d’une petite fuite, soit dans
des décharges plus ou moins violentes. Les déséquilibres locaux des charges
électriques produisent par exemple les éclairs, qui sont des phénomènes de
rééquilibrage.
Ce ne serait pas un hasard que
les axes de rotation des galaxies aient une courbure identique : leur
alignement serait dû à un anneau géant de courant électrique entourant le
‘vide’ cosmique, dont l’origine est toujours inconnue (Longo, Alfven,
Campanelli et Schwarz) et qui alimenterait les galaxies en énergie. De la même façon que le courant électrique
qui s’étend entre les galaxies peut expliquer leur alignement et leur même
direction de rotation, le courant à l’intérieur des galaxies peut expliquer
pourquoi la plupart des étoiles se trouvent dans les bras galactiques.
Ainsi il semble que le vide
intergalactique alimente les galaxies, les aligne et les fait tourner ;
que les galaxies alignent les étoiles, leur donne de l’énergie et les fait
tourner ; et que finalement les étoiles alimentent électriquement les planètes
et les font tourner. Ce serait le même processus qui se répète à toutes les
échelles, comme dans une fractale, du plus grand au plus petit.
Le plasma qui remplit l’espace
est principalement constitué des molécules très légères que sont les ions plus
électrons d’hydrogène et d’hélium. La concentration très basse du plasma
spatial, environ une particule ionisée par centimètre cube (alors qu’en
comparaison la concentration de l’air atmosphérique est de l’ordre de 1013
particules), permet quand même les échanges électriques au niveau des
corps célestes, du fait de sa haute conductivité.
Les décharges électriques du
plasma se faisant sous la forme de filaments, on les appelle courants
filamentaires du plasma, aussi nommés courants de Birkeland. Les contraintes
des champs magnétiques créent un ‘vortex de plasma’, où deux courants
électriques tournent l’un autour de l’autre pour former un courant filamentaire
(ou encore câble de plasma) très stable.
Les courants de Birkeland et la
rotation des filaments doubles sont en relation avec le concept des moteurs de
Faraday (homopolaires), qui sont basés sur l’énergie générée par l’interaction
entre un courant électrique et un champ magnétique (force de Laplace ou de
Lorentz).
Un corps céleste est soumis à des
courants électriques et des champs magnétiques, donc à la force de Lorentz,
d’où les rotations spiralées (spin) des étoiles et des planètes qui peuvent
être considérées comme des moteurs homopolaires géants. Ainsi, leurs tournoiements
dépendent des fluctuations des courants électrique ou/et des champs
magnétiques.
Des corps célestes se trouvant
dans l’héliosphère, tels les comètes et les planètes, peuvent provoquer des décharges solaires (éruptions et
tâches solaires, éjections coronales de masse), en fonction de leurs tailles,
charges électriques, trajectoires et locations, et en particulier de leurs
alignements. Ces décharges ont des répercussions sur Terre, comme les aurores
boréales où le ciel est ionisé par les particules solaires qui pénètrent les
parties les plus étroites de l’atmosphère (régions polaires).
La position de la lune contribue
à rendre leurs effets plus ou moins intenses. La lune fait écran à l’activité
solaire en période de nouvelle-lune, lorsque celle-ci se trouve entre le soleil
et la terre. Dans les jours qui suivent, alors qu’un nouvel afflux de
particules solaires arrive sur Terre, les évènements climatiques ont tendance à
être amplifiés.
D’une manière analogue aux comètes
et aux planètes par rapport au système soleil - héliosphère, la pleine-lune
perturbe l’activité électromagnétique de la terre du fait de sa position dans
la magnétosphère. De plus l’alignement de la terre et de la lune renforce leur
capacité de décharge, ce qui contribue à intensifier l’activité solaire et à
provoquer des perturbations climatiques.
Peu après le début du cycle
solaire précédent (vers 1998), l’activité solaire a commencé à diminuer pour
atteindre le plus bas ‘maximum solaire’ depuis plus d’un siècle (nombre de
tâches solaires) en 2013, ce qui est en complète contradiction avec les
résultats escomptés par la NASA.
Cette réduction anormale de l’activité
solaire coïncide avec une augmentation exceptionnelle de l’activité météorique,
qui est pourtant censée entrainer des décharges solaires importantes. Les mêmes
causes peuvent-elles être responsables de ces phénomènes antagonistes ?
D’après la NASA, plus de 80% des
étoiles sont dans des systèmes d’étoiles multiples, le plus souvent des
systèmes d’étoiles doubles. Pour le Binary Research Institute notre soleil fait
vraisemblablement partie d’un système binaire à cycle long. Les cosmologues du
plasma estiment qu’un système binaire est une réaction logique pour une étoile
individuelle qui doit faire face à une forte tension électrique, l’amenant à se
morceler en deux (ou plusieurs) parties, où les naines brunes devraient être
assez répandues. Quand une sphère est divisée, la masse totale est inchangée,
mais la surface de la paire est environ 26% plus grande, ce qui augmente
l’exposition au champ électrique tout en diminuant la densité du courant
(ampères par mètre-carré). L’anomalie
serait que notre soleil soit seul...
Une naine brune est une étoile
qui n’émet pas de lumière parce que le champ électrique local est trop faible
(alors que la science officielle, malgré les dernières découvertes concernant
l’activité nucléaire vérifiée d’une naine brune, détermine leurs caractéristiques
par leur taille et leur température). Si le compagnon du Soleil est une naine
brune, orbitant de plus dans le plan de l’écliptique, il est quasiment
impossible à repérer, rendu invisible du fait qu’il soit noir et environné de
myriades d’astres brillants.
Il a été établi que les
extinctions de masse, qui se répètent selon un cycle d’un intervalle moyen de
27 millions d’années (M.A.), sont dues en majorité à des bombardements de
météores (comètes ou astéroïdes). Or l’orbite des comètes ne peut avoir par
elle-même une telle stabilité sur 27
M.A. D’où la théorie de ‘Némésis’, avancée par Richard Muller, d’un compagnon
du Soleil ayant cette orbite, qui perturberait les comètes et les astéroïdes
lors de son approche du système solaire, les entrainant dans sa trajectoire.
À noter que la distinction
classique entre comètes et astéroïdes est incompatible avec des observations
récentes. Par exemple la comète Lovejoy, censée être pleine de glace, est
ressortie intacte de sa traversée de l’atmosphère du Soleil ; l’astéroïde
P/2013 P5, supposé être une roche qui ne brille pas, a développé une trainée
lumineuse immense... Leur différence fondamentale ne tient pas à leur
composition chimique mais, comme le soutiennent depuis longtemps les
théoriciens du plasma, à leur activité électrique. En fait on peut dire qu’une
comète est un astéroïde brillant et qu’un astéroïde est une comète qui ne
brille pas ; ou bien qu’un astéroïde peut devenir une comète, puis une
météore quand il entre dans l’atmosphère terrestre, enfin une météorite
lorsqu’il atteint la surface de la Terre.
En se basant sur des datations au
carbone-14, la dernière extinction de masse aurait eu lieu il y a 14 M.A. Mais
cette méthode de datation comporte des anomalies répétées, comparée à d’autres
datations (électroluminescence, dendrochronologie, archéologie, géologie,
analyses de carottes de glace). Il se trouve qu’elle attribue fréquemment des
âges qui sont beaucoup plus récents qu’ils ne le sont en fait. Or des
évènements cosmiques comme les supernovas, les bombardements ou les explosions
de comètes, altèrent la datation au radiocarbone, qui donne alors des résultats
qui apparaissent plus jeunes (phénomène identique avec les explosions
thermonucléaires). Ainsi ces évènements cosmiques sont la cause d’extinctions
de masse, modifiant par la même occasion la qualité du carbone-14 des
organismes qu’ils tuent et qui fossilisent.
La possibilité que Némésis soit
dans sa phase d’approche du Soleil (périhélie),
au contraire de ce qui est suggéré par la datation au carbone-14, est
accentuée par l’anomalie de la gravitation lunaire récemment démontrée, où
l’excentricité de son orbite augmente. Ce qui ne pourrait se comprendre que par
la proximité d’un corps spatial non identifié, localisé au-delà de Pluton.
Une grande activité météorique
couplée à une réduction de l’activité solaire suggère que la charge électrique
du Soleil a diminué. L’approche de son compagnon invisible pourrait en être la
cause. Ce dernier reçoit probablement la même source externe d’énergie depuis
la région du bras d’Orion où le Soleil est situé (bien qu’officiellement le
Soleil n’ait qu’une source interne d’énergie, ce qui n’est pas compatible avec
la production de neutrinos, trois fois inférieure à ce qu’elle devrait être dans
ce cas), réduisant ainsi l’intensité de
l’électricité transmise.
L’interaction entre le Soleil et
Némésis peut être de nature non locale, si l’on se réfère en particulier à
l’hypothèse des ‘trous de vers’, qui sont des sortes de raccourcis à travers
l’espace-temps connectant deux points distants (concept en adéquation avec la
théorie de la relativité générale). Malgré les grandes distances et le manque
de moyens de mesures pour la mettre en évidence, cette interaction pourrait
ainsi avoir des impacts environnementaux sur le Soleil et sur la Terre.
En plus du cycle de 27 M.A. de
Némésis, et à part les cycles d’activité cométaire d’une année terrestre, d’autres
cycles d’extinctions liés à des essaims de comètes sont à prendre en compte,
comme celui de 186 M.A. qui correspondrait à l’année galactique, où notre
système solaire passerait dans une zone très perturbée.
Dans son orbite autour du centre
galactique, le système solaire oscille périodiquement d’un côté et de l’autre
du plan galactique, le long duquel se situe la Ceinture de Kuiper. À chaque
passage sur le plan galactique des comètes géantes pourraient être entrainées
et se rapprocher du Soleil tout en se fragmentant.
La formation des comètes devient
plus claire avec un univers électrique empli de plasma, contrairement aux diverses
théories officielles : le processus d’accrétion de matière (pour former
comètes, planètes etc.) est bien plus évident avec des masses chargées
électriquement qu’avec des corps neutres (attraction de particules positives ou
négatives).
La Terre est analogue à un
condensateur. Malgré de nombreuses décharges entre sa surface et l’ionosphère
(éclairs par ex.), le champ électrique entre les deux ne disparait pas car il
est rechargé électriquement par les vents solaires.
Les radiations solaires ionisent
les molécules, principalement gazeuses, de l’ionosphère qui se trouve de 50 à
500 kilomètres environ de la surface terrestre et est en interaction directe
avec les vents solaires. Les couches supérieures et inférieures de l’atmosphère
peuvent être décrites comme la bulle isolante de la Terre, sa Double Couche
(DC). Comme la charge électrique de
l’ionosphère est positive relativement à la charge négative de la Terre, un
champ électrique vertical existe entre les deux au sein de l’atmosphère.
Lorsque l’activité solaire est
faible, outre les champs électriques de l’atmosphère terrestre et de la
surface-noyau qui sont réduits, les comètes sont moins soumises aux impacts
électriques et se désintègrent moins. Or leur nombre a beaucoup augmenté depuis
près de dix ans, ainsi que leur masse. Ce qui apporte aussi une augmentation de
la poussière atmosphérique, provoquant une diminution de la quantité de
radiations solaires sur la surface terrestre (à quoi s’ajoute la pollution
d’origine humaine).
Des virus et des microbes peuvent
être apportés à la surface de la Terre par les poussières dues aux météorites.
Ainsi, la Peste Noire de 1347 a été précédée par une activité cométaire
intense...
La rotation de la Terre,
proportionnelle à l’intensité du courant électrique entre l’ionosphère et la
planète, peut être ralentie très légèrement par une diminution de l’activité
solaire, à quoi peut s’ajouter une concentration plus forte de poussières dans
l’atmosphère.
Même infinitésimal, un
ralentissement de la Terre peut déclencher des tremblements de terre et des
éruptions volcaniques. Couplé à une réduction du champ magnétique
surface-noyau, cela déclenche aussi des phénomènes comme de nouvelles îles ou
geysers, des dolines (sinkholes), des failles, glissements de terrain etc.
La couverture nuageuse du globe
terrestre pourrait bien se densifier dans le futur, à cause de l’augmentation
des rayons cosmiques et de la poussière atmosphérique qui sont, avec la
présence d’humidité, les causes principales de la formation des nuages ;
ce qui aurait pour conséquence un refroidissement de la planète, selon les
résultats des mesures effectuées par des satellites, qui ont démontré que les
nuages produisent au final un effet global de refroidissement (entre les nuages
de haute altitude qui retiennent plus de chaleur et les nuages de basse
altitude qui réfléchissent plus de lumière solaire).
Lorsque l’activité solaire est faible,
moins de vents solaires atteignent la haute atmosphère, qui reçoit donc moins
de radiations d’ultraviolets, ce qui induit le refroidissement de la
stratosphère et a été vérifié depuis le dernier minimum solaire en 2002.
Cette diminution de l’activité
solaire réduit aussi la rotation de la Terre et affaiblit le courant
atmosphérique vertical (réductions respectives de l’Effet de Coriolis et de la
Force de Lorentz). Ce sont les causes probables du ralentissement du Gulf
Stream depuis 2004.
De même pour le Jet Stream,
courants aériens de haute altitude liés aux activités électriques, qui
ralentissent et descendent vers le sud ou le contraire selon les hémisphères,
au lieu d’aller plus vite et plus droit comme c’est le cas lorsque l’activité
solaire est élevée. Plus cette situation dure et plus les phénomènes
météorologiques extrêmes sont à prévoir, ainsi qu’un refroidissement des
latitudes tempérées.
L’accumulation de poussières
cométaires dans l’atmosphère joue un rôle important en ce qui concerne
l’augmentation des tornades, cyclones et ouragans, en lien avec leur nature
électrique. Ces évènements aériens sont la manifestation de décharges
électriques entre l’ionosphère et la surface terrestre. La concentration élevée
de poussière atmosphérique réduit la conductivité électrique de l’atmosphère,
en réduisant la mobilité des petits ions. Ainsi les électrons ne peuvent se
mouvoir librement et sont capturés par les particules de poussières, ce qui
provoque des décharges électriques locales plus fréquentes.
L’axe de rotation de la Terre a
sans doute été vertical, au moins durant l’ère Secondaire où il n’y avait
probablement pas de saisons, comme semble le prouver les fossiles de dinosaures
découverts près du Pôle Nord. La cause de l’inclination de cet axe terrestre
peut très bien provenir du passage suffisamment proche d’une comète fortement
chargée en électricité.
La flèche du temps de l’entropie,
qui est la tendance de tout système à perdre de l’énergie et à finalement
mourir, est contrebalancée par une autre flèche du temps fondamentale, où l’univers
progresse à travers l’augmentation de l’information, de la structure, de
l’organisation et de la complexité jusqu’à des états toujours plus élaborés de
la matière et de l’énergie.
La lumière (mouvement de photons,
qui possèdent divers degrés de transport de l’information, comme la fréquence
ou la polarisation) et l’électricité (mouvement d’électrons à la source des
ondes électromagnétiques) sont intimement liées. La matière est un mélange de
photons et d’électrons qui réagit aux champs électriques en séparant les
charges positives des charges négatives, ce qui produit de l’ordre, marque
distinctive de l’organisation, de l’information. Ce qu’on retrouve dans le
plasma, qui est de la matière qui a été ionisée (séparation des charges) suite
à une tension électrique et qui possède un très haut niveau d’organisation.
Le constituant fondamental de
l’univers pourrait véritablement être l’information, dont le photon est le
principal élément. Notre cerveau, à l’activité électrique intense et producteur
de photons, construit une réalité objective en interprétant des fréquences
électromagnétiques, qui sont essentiellement des projections d’une dimension
non perceptible ayant les propriétés d’un champ d’une réalité plus profonde qui
transcende l’espace-temps : un Champ d’Information Cosmique ?
Ce ne sont pas
les objets qui définissent l’espace, c’est l’espace qui définit les objets.
L’espace, ou le
vide, connecte tout. Les fluctuations d’énergie à l’intérieur du vide, qui
alimentent sa structure, sont à la source de notre réalité. Une composante de cette structure du vide est celle
qui produit notre réalité.
Notre univers
connu est trop dense pour que la lumière s’en échappe, ce qui est la condition première
pour la formation d’un trou noir.
Les galaxies en
particulier seraient les effets et non
les causes des trous noirs, qui peuvent être vus comme un modèle basique du
vide lui-même, absorbant et diffusant les échanges d’informations.
De la Longueur de Planck aux
confins de l’univers les transferts d’informations se font à toutes les
échelles, relayés par le vide qui peut être assimilé à un agent organisateur
qui produit la complexité.
Le monde
matériel est constitué de 99,999 999 % d’espace "vide". La réalité que nous
expérimentons représente en fait 0,000
000 1 % de ce qui existe.
En tant
qu’êtres humains, notre passage sur Terre s’incarne à la limite de ce qui
sépare l'infiniment grand de l’infiniment petit, aux frontières d’un horizon qui
ouvre sur le trou noir, en équilibre dans le vide...
La densité du
vide a été calculée à 1093 gr./cm3 alors que la masse
totale de l’univers observable l’est à 1055 gr./cm3,
c’est-à-dire que la structure du vide a une densité 39 fois supérieure à celle de la matière.
Des atomes aux
galaxies le vide se divise en relations très spécifiques, où tout dépend du
Rapport Phi, qui est de 1.618, et où la gravité est la force qui donne sa
cohésion à l’univers.
La structure
fondamentale des divisions du vide correspond à des principes géométriques
basés sur le tétraèdre et la sphère, dans des structures fractales
tridimensionnelles évoluant selon des octaves parfaites.
Résumé personnel tiré du livre de Pierre Lescaudron : Earth Changes and the Human-Cosmic Connection
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